Chorégraphie signée Peter Quanz, elle met en scène la folle passion entre Camille Claudel et Rodin qui mènera Camille à l'enfermement pendant les 30 dernières années de sa vie. Durant cette période, elle ne touchera plus jamais à la sculpture.
La 1ère partie m'a parue trop condensée, me demandant des efforts intellectuels de compréhension et pas suffisamment dansée. Le chorégraphe ne nous laissait pas le temps d'intégrer l'histoire particulièrement symbolisée par les danseurs. J'ai toutefois aimé le passage où se développent la complicité et l'intimité du couple faisant place ensuite à la sensualité.
La 2ème partie, toujours aussi représentative grâce aux sculptures interprétées par les danseurs, amenait la folie de Camille avec beaucoup d'intensité et d'émotion. Je dois dire que ce passage m'a particulièrement touchée.
Un très beau ballet accompagnés par des musiques de Debussy, Berlioz, Ravel... et jouées par l'Orchestre des Grands Ballets Canadiens de Montréal.
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